Entredésir de nature et peur de l’abandon : quelles attentes paysagères après l’arasement des barrages hydroélectriques de la Sélune ? Ense prononçant le 4 décembre pour l’étude de solutions alternatives à l’effacement des barrages de Vezins et La-Roche-qui-Boit (Manche), la ministre de l’écologie Ségolène Royal a
Cetravail présente l'évaluation des bénéfices récréatifs attendus, pour la pêche au saumon, de l'effacement des barrages de la Roche-qui-Boit et de Vezins, sur la Sélune.
soitdans le cadre de la restauration de la continuité écologique d’un cours d’eau, comme sur certains affluents de la Columbia River aux États-Unis ou, en France, sur les barrages de Vézins et la Roche qui boit sur la Sélune (travaux en cours), de Maisons Rouges sur la Vienne, de Saint-Etienne du Vigan sur l’Allier ou de Kernansquillec sur le Léguer.
Lintersyndicale EDF entend protéger son patrimoine, le barrage de Roche-Qui-Boit, encore debout face aux pelleteuses de casseurs. Le lac de ce barrage abrite des espèces protégées comme la loutre. Il sert de réserve d'eau, Leniveau d'eau du barrage dit de Vezins (26 mètres de haut, 280 mètres de long) va ensuite être baissé progressivement entre avril 2017 et l'été 2018, selon la DDTM. L'Etat décidera alors s'il poursuit l'opération en arasant ce barrage et celui, voisin, de La Roche qui Boit, ou s'il concède Vezins à un exploitant. L'arrêté prévoit . 248 418 256 150 297 405 284 333

barrage de la roche qui boit