Démangeaisons le chat se gratte et se mordille. Robe terne, desquamation. Le chat peut développer une hypersensibilité (certains chats sont allergiques aux piqûres de puces) aux piqûres et rendre ses démengeaisons plus importante pouvant aller jusqu'à se créer des plaies. Soins : traiter le chat et tout son environnement.Article Publiée le 27/07/2020 Information proposée par Service Public d’Information en Santé Quels sont les différents types de plaies ? Une plaie est une effraction plus ou moins profonde de la peau. Il en existe de très nombreuses formes. Une excoriation cutanée ou égratignure touche seulement les couches superficielles de la peau. Les bords de la plaie sont alors souvent irréguliers, le saignement de faible abondance et de courte durée. Une excoriation étendue peut toutefois provoquer une douleur ressemblant à une brûlure. En général, les soins locaux suffisent pour ce genre de petit bobo. Les plaies plus profondes ou entailles ont des bords, appelés aussi berges, découpés plus nettement. Les saignements sont parfois importants et la plaie souvent douloureuse. Les berges doivent, dans certains cas, être rapprochées l’une de l’autre suture ou colle biologique par un médecin, afin d’éviter une cicatrice inesthétique. Une plaie peut donner lieu à d’importants saignements, notamment sur le cuir chevelu parfois spectaculaire, au visage et aux mains. Ces saignements peuvent être d’origine veineuse, artérielle ou mixte. Les saignements veineux sont généralement réguliers, en nappes. Les saignements artériels, plus rares, se caractérisent au contraire par une très forte pression et un débit pulsatile le sang sort par à-coups et parfois en jet, au rythme du pouls. Ils peuvent provoquer des hémorragies importantes. Quelles sont les complications éventuelles des plaies ? Une plaie ou une excoriation peut être suivie de complications infectieuses. L’infection se manifeste par une rougeur, une douleur et la présence éventuelle de pus. Elle est plus grave lorsqu’elle touche une articulation ou qu’elle s’accompagne d’autres signes ganglions douloureux, fièvre. Toute plaie est susceptible de se compliquer de tétanos chez une personne non vaccinée. Les plaies peuvent aussi entraîner des problèmes moteurs en cas de lésions nerveuses, tendineuses ou articulaires négligées. Une plaie de la main, même d’aspect bénin, doit ainsi faire l’objet d’un examen médical minutieux. Que faire en cas de plaie ? Si la blessure saigne par jet ou en nappes abondantes, comprimez la plaie avec une compresse stérile, ou à défaut avec un linge propre, de préférence repassé au fer. Ne faites pas de garrot. Attendez dix minutes et levez la compression doucement. Si la plaie saigne à nouveau, consultez un médecin. En cas d’hémorragie persistante, pratiquez une compression manuelle que vous relâchez de temps en temps en attendant les secours. N’appliquez rien sur une plaie autre qu’un antiseptique incolore ou de l’eau si elle comporte des berges éloignées nécessitant d’être rapprochée par suture ou colle biologique. Si la blessure ne présente pas un caractère grave, nettoyez-la à l’eau courante tiède avec du savon. Enlevez les souillures éventuelles avec une pincette propre. Ne désinfectez la plaie qu’après l’avoir nettoyée à l’eau et au savon et rincée soigneusement. Dans la mesure du possible, n’appliquez ni sparadrap ni pansement et laissez la plaie à l’air libre. Si la plaie est une coupure peu profonde, vous pouvez poser des bandelettes adhésives après l’avoir nettoyée, désinfectée et bien séchée. Elles doivent être posées rapidement moins de 6 heures après le moment où la plaie s’est formée. Pour bien rapprocher les bords de la plaie, placez la première bandelette au centre à la coupure, perpendiculairement, en maintenant ses bords rapprochés. Posez ensuite les autres bandelettes en les séparant de quelques millimètres. Finissez en posant deux bandelettes de part et d’autre de la coupure, parallèles à elle et collées sur les précédentes. Les bandelettes doivent être retirées après une semaine en les humidifiant. Vérifiez que vous êtes à jour de vos vaccinations contre le tétanos rappel tous les vingt ans à l’âge adulte. Quand consulter en cas de plaie ? Appelez votre médecin traitant immédiatement, ou rendez-vous au service d’urgence le plus proche si la plaie provoque un saignement qui semble abondant ou pulsatile. s'il s'agit d'une morsure. si elle est profonde et béante, ou au contraire petite mais provoquée par un objet pointu couteau, clou, etc.. si la plaie touche l'œil ou la main, quelle que soit sa profondeur. si le blessé présente une pâleur du visage, des sueurs, une soif importante, des vertiges ou des petits malaises. Consultez un médecin dans la journée si la plaie est très souillée. si la plaie se situe sur le visage, le cou, la tête ou entraîne une gêne pour mobiliser une articulation voisine. si elle n'arrête pas de saigner faiblement. si la personne a été vaccinée contre le tétanos depuis plus de vingt ans ou s'il existe un doute sur cette vaccination. si la personne est diabétique ou immunodéprimée risque d'infection augmenté. si la plaie présente des signes d'infection rougeur, chaleur, douleur. si la plaie ne cicatrise pas au bout de deux semaines. Comment soigner une plaie ? L’utilisation d’un antiseptique local ne doit pas faire négliger la première étape indispensable au soin d’une plaie le nettoyage. Un simple lavage soigneux à l’eau tiède et au savon permet d’éliminer la majorité des germes. Cette étape doit être suivie d’un rinçage tout aussi soigneux car certains antiseptiques peuvent être inactivés par la présence de savon. Les antiseptiques les plus couramment utilisés sont les biguanides chlorhexidine et hexamidine, ainsi que les dérivés du chlore et de l’iode. L’association de plusieurs antiseptiques doit toujours être évitée. Elle risque d’annuler leurs effets ou, dans certains cas, elle peut entraîner la formation de produits irritants. Il faut toujours préférer les formes unidoses ou les petits flacons une fois ouverts, les antiseptiques peuvent, paradoxalement, être contaminés. Il est important de respecter les modes d’emploi pur ou dilué, rinçage, date de péremption, etc.. Le pansement protecteur doit être changé tous les jours pendant deux à trois jours, puis tous les deux jours. À chaque renouvellement de pansement, mieux vaut la nettoyer doucement avec de l'eau ou du soluté physiologique. En cas de saignement chez les personnes sans troubles connus de la coagulation, la compression de la plaie pendant quelques minutes est souvent suffisante. Le Service Public d’Information en Santé, au sein du Ministère des solidarités et de la santé, associe les institutions et agences publiques missionnées dans les champs de la santé, ainsi que les partenaires privés à but non lucratif associations, ordres professionnels, sociétés savantes, universités…. La démarche vise à assurer la cohérence et la cohésion des actions autour d’une vision commune de l’information publique en santé prévoyant également l’élaboration d’outils favorisant l’implication des usagers au processus d’amélioration du système de santé. Service Public d’Information en Santé Le contenu proposé vous a-t-il été utile ?Unaccident par piqûre d'aiguille et coupure : le sang d'une personne pénètre dans l'organisme d'une autre personne. Un objet tranchant est alors mis en cause, comme une aiguille ou un scalpel. Un incident par éclaboussure : du sang entre en contact avec les muqueuses ou une peau non intacte. Un accident par morsure : du sang touche les Parcontre, le sang, le sperme, le liquide séminal (liquide transparent qui s’écoule au début de l’érection), les sécrétions vaginales, le liquide anal (rectal) et le lait maternel peuvent transmettre le VIH. La transmission du virus VIH résistant à certains médicaments à des hôtes nouvellement infectés par le VIH est liée à la disponibilité des médicaments et à l
uneblessure de la peau ou avec une muqueuse (bouche, vagin, rectum), • lors de l’usage de drogues : transmission par le partage de seringues usagées ou d’une paille contenant du sang contaminé, • de la mère à l’enfant : transmission par le lait maternel. Dépistage rapide : le TROD, test rapide d'orientation diagnos-
http://www.franceinfo.fr/monde 2013-09-30Reportagesur le classement définitif de l'affaire du sang contaminé par la Cour de Cassation de Paris. Elle a confirmé le non-lieu général en faveur des trente médecins ou conseillers ministériels mis en examen. Une décision accueillie par les cris et les larmes des familles des victimes. Le commentaire sur des images de la Cour et des archives de Michel Garretta, Louis Schweitzer
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